Bahakell

Il y a des choses qu’on ne peu expliquer concrètement, qu’aucun mage ne pourra savoir parfaitement ou qu’aucun scientifique ne pourra exposer une théorie concrète. C’est chose, nous vivons chaque jours avec, nous les respirons, nous les voyons, nous les touchons et nous nous posons aucune question…

Il y a des années de la, dans le cœur d’un désert ardent, une explosion de lumière a violemment déchiré le silence qui régner, pour seul témoin un marchand du nom de Morac. Trop curieux, l’humain s’en alla voir l’origine de cette explosion et découvrit cette chose n’ayant aucune réponse a son apparition. Au centre du cratère se tenait un demi humain/dragon noir allongé en position fœtal, complément nue… comme un bébé venant de naitre.

Morac le recueilli et le nomme Bahakell !
Celui était complètement amnésique, ne sachant ni d’où il venait, ni comment il était arrivé ici, ne se rappelant rien de son passé… Pourtant, l’hybride était assez vieux pour ne pas être un enfant et pas assez pour être un jeune homme quittant l’adolescence.

Il du se faire a la vie de marchand avec Morac, lui servant de garde du corps, découvrant peu a peu des talents caché en lui comme sa bestialité au combat ou sa grande endurance. Les affaires marché bien, Bahakell était bien accueilli dans les villages du désert (surtout pas les femmes…) et Morac avait un fidèle garde du corps, tellement qu’il se permettait pour arnaquer les clients.

Durant tout se temps, Bahakell connu les joies de la famille, du voyage, du combat et du sexe, le tout remuer par une bestialité qui lui faisait parfois défaut, parfois qui lui servait a certaine situation (les bandits n’osaient jamais sans prendre a Morac pour ça et les femmes adoraient cette créature exotique, animal).

Puis, l’affaire de Morac coula brusquement, sensible a la détresse de la famille qui l’avait recueilli, Bahakell s’inscrit dans se qui allait débuter son voyage… Un grand combat d’arène organisé par le calife, et dont le gagnant serait l’heureux possesseur d’un million de pièce d’or.

Bahakell, le demi-dragon noir, n’aurait jamais cru que scanderai son nom à l’intérieur de l’arène…

Ainsi commence l’histoire de Bahakell…


Carte d’identité:



Bahakell est un demi-dragon noir, mais a part des changements physiques et ses instincts, il n’en a pas le comportement.

C’est un grand gaillard de deux mètres cinq, musclé et charismatique, son visage lui donnant l’air à la fois doux et animal. Ses cheveux son d’un noir aussi profond que la nuit, sa chevelure étant plutôt longue (jusqu'à la moitié du dos), il la tient généralement en queue de cheval.

La peau mate, du surtout a ses deux ans dans le désert en tant que garde du corps, contraste fortement avec la pâleur des gens des villes, se qui fait qu’on le remarque assez rapidement. Ses yeux verts émeraude sont assez hypnotisant, de plus d’être félins, il exprime une grande fierté et un état bienheureux.

Concernant ses « atouts » draconiques, il possède deux petites cornes sur le front, des canines proéminentes, de légères griffes (qui sont en faite ses ongles) noirs et une paire d’ailes noirs de Jais. Il a également un tatouage lui recouvrant le dos, représentant un dragon ailé, il l’avait déjà a sa « naissance » et personne ne connait sa réelle signification.

Bien qu’il puisse paraitre parfait physiquement, c’est loin d’être le cas mentalement. Bahakell est provocateur, chaotique, s’amusant d’un rien et n’hésite pas parfois à ridiculiser ceux qui le mérite. Grand buveur, bien que l’alcool ne lui fait pratiquement rien, il est aussi amateur d’arme, se qui explique l’épée a deux mains et le cimeterre qui sont toujours avec lui.

Les instincts de Bahakell sont l’un de ses points faibles, la viande lui donnant envie de sang et la moindre proposition féminine excite ses instincts de domination, bien qu’il tente de se contrôler, se n’est pas toujours gagner (d’ailleurs, il a un faible pour les rousses… Mais chut !).

Très protecteur, Bahakell aidera toujours ses amis, en se qui concerne ses ennemis, ils sont souvent peu nombreux vue qu’il n’hésite pas à les tuer aussi violemment que possible…